Auteur/autrice : admin8005

Jeune cavalier et comédien, il est notre Mandrin idéal. Il le représente facilement : il en a l’âge et le physique. Son métier de comédien
et son sens de la cascade équestre le rendent capable d ’incarner Mandrin avec conviction, talent, intelligence et même magie disent les critiques…

Comédien, il a suivi d’abord une formation de théâtre aux cours d’art dramatique de Jean Perimony dans son Ecole, avant d’intégrer le Conservatoire d’Art Dramatique de Paris. Après avoir travaillé comme comédien
9 classique à Paris pendant plusieurs années, il retourne à sa passion d’enfance : le cheval.

Désireux de faire du spectacle équestre, il quitte Paris pour aller apprendre l’art du dressage équestre auprès de quelques maîtres… (Une science infinie dont il ne fait qu’explorer les contours depuis maintenant 10 ans) Il est initié à la voltige cosaque, et, de rencontre en rencontre, il se forme toujours plus à l’art équestre

Ses nombreux engagements de spectacles équestres, l’amènent à la pratique de la cascade et il se familiarise avec cet univers de chutes, joutes, et diverses sortes d’escrime (médiévale, classique ou d’Orion). En tant que cascadeur équestre, donc souvent engagé dans des combats de cowboys et d’indiens, il a une bonne connaissance des armes à feu anciennes
et il pratique élégamment l’art du tir à l’arc à cheval. Depuis 10 ans, il vit et vogue au gré de ses envies, des spectacles et des besoins de ses chevaux qui partout l’accompagnent. Ils sont son équilibre au quotidien
et ses partenaires à la scène comme à l’écran !

Les décors simplissimes s’articulent autour du magistral trompe-l’oeil de l’artiste peintre Louise Fritsch, de Strasbourg. Elle est diplômée de la Haute École des Arts du Rhin (École des Arts Décoratifs de Strasbourg) et mène sa carrière avec une ténacité régulière et tranquille, touchant à la fois aux trompe l’oeil mais aussi à toutes les représentations de l’humain par des anamorphoses où l’impact visuel de l’œuvre est amplifié et étiré par l’utilisation de la perspective fuyante.

Des métamorphoses, comme des ricochets inspirés du génie de la Renaissance, du style baroque ou contemporain font parties aussi de ses recherches esthétiques. Parcourir son site (www.louisefritsch-peintre.fr) c’est voyager dans l’histoire de la
peinture. Son grand tableau montre l’évasion de Mandrin auquel on substitue un muet sous l’échafaud de Valence, c’est la base du décor central.

Ce décor central est très simple : une grande bâche de 2,5 m sur 4 m. Des grands bâtons de bois et des grandes bâches plastiques de protection serviront à figurer montagne, rivière, prison, ou maison de paysans

La direction artistique et la mise en espace sont assurées par Dominique Pfaff Chanet. Elle est l’initiatrice du projet global et l’autrice du texte. Après une formation générale en sciences économiques et en sociologie (Master et
DEA), elle aborde le domaine plus technique de l’urbanisme (DIUP)

Assistante du directeur des Ateliers Media à Paris, elle réalise de nombreuses vidéos sur l’urbanisme des villes de la périphérie parisienne. Ensuite, chargée de communication à l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de la Région d’Île-de-France, elle organise de nombreuses expositions et des colloques dont :
— Metropolis, 900 participants payants venus du monde entier et
réunis autour des maires de 24 métropoles New York, Los Angeles,
le Caire, Pékin, Moscou, Abidjan, Buenos Aires.
— Construire en Île de France, 1000 professionnels et hommes politiques
français.

Parallèlement, tout en étant salariée, elle passe un DEA de Cinématographie avec Jean Rouch et Éric Rohmer et après avoir tourné des vidéos pour Paris, Créteil, Bar-le-Duc, Maleville, Tonnerre, elle se tourne par goût vers le monde artistique et réalise plusieurs vidéos sur des artistes peintres, français et suisses.

Elle pratique yoga et méditation régulièrement, tout en créant ses propres peintures qu’elle expose. Participer à la création de la légende de Mandrin Secret lui semble être une bonne façon d’allier une recherche de
sens avec une mise en place aussi esthétique que possible.

La voix off de Gérard Desnoyers décrit l’Histoire ou sollicite le public dans un jeu participatif bon enfant lors d’interactions avec les acteurs. Son expérience de comédien et de metteur en scène l’a amené à faciliter des expériences artistiques et sociales très riches pour tous les participants. Sa voix de baryton est très recherchée par de plus en plus de
musiciens pour des récitatifs lors de concerts ou de spectacles musicaux.

Médaille d’or et vermeil à l’unanimité au sortir du Conservatoire National d’Art Dramatique de Chambéry, il crée, dans la foulée, le Théâtre Populaire Savoyard avec lequel il présente des pièces de F. Xenakis, B.Brecht, V. Hugo, et déjà un « Mandrin » de P. Chaussat. Puis, avec sa structure « AlinéArts Scènes » il intervient auprès du monde économique, en construisant des passerelles de formation et d’événementiels entre théâtre et entreprises.Il produit de nombreux spectacles de : Labiche, G. Feydeau, E. Rostand, J. Romains, Carlo Goldoni, et Zoë Fachan. Et mille autres aventures théâtrales jouées ou mises en scène dans des pièces de Molière Racine, Corneille, Shakespeare…

Une tournée d’Avignon à toute la France, avec le « Souper » de J.Cl. Brisville où il incarne Talleyrand avec finesse et intelligence, lui procure de grands succès A la fois pragmatique et visionnaire dans ses choix, il est un aventurier de la scène et prête avec plaisir sa voix au texte de Mandrin Secret.